Faut que j'arrete

12 juillet 2005

Ce matin, je me suis levé tôt vers 7 heure, mon oreillet m'a réveillé car il se sentait trop tassé. J'ai machinalement regardé mon telephone portable, et j'ai vu qu'un SMS était ici depuis hier soir 21 heures...
Il commençait à s'impatienter alors je l'ai lu et j'ai vu que ma soeur essayait de me joindre depuis la veille. Dommage j'étais pas devant mon portable. Bref la matinée est arrivée rapidement elle a frappé à ma fenêtre...obligé de lui ouvrir.

Un petit rayon de soleil c'est glissé dans mon cou, et j'ai eut du mal à le chasser cet espèce de résidu de photons. En été ils sont plus coriaces les saligots.
Bref ensuite j'ai filé vers la cuisine pour espérer me restaurer un peu.

Devant mon empressement, la table était déjà prête, et le lait s'était caché dans mon bol. Avec un peu d'entrainement on arrive facilement à le retenir prisonnier ce satané lait. Il suffit d'y ajouter une bonne dose de céréales. C'est pour ça que j'ai décidé de planter du blé, et du riz devant ma fenêtre. Une esèce de riz qui pousse rapidement depuis que je l'ai sermoné. Ben oui, attendre 6 mois pour avoir de quoi manger c'est dur, mais depuis que je me suis énervé il pousse tout les matins juste avant que je le ramasse.

Par contre Sénéchal mettait du temps à venir. Je l'ai vu de loin seulement vers 10 heures. Quand il c'est approché il à commencé à me tenir un discour sur l'égalité des animaux et des bêtes...fatiguant...Résultat je lui ai envoyé mon pied au cul.

Non mais faut pas se laisser emmerder par un simple chat.

C'est à ce moment que que j'ai entendu un chucotement derrière moi, et me retournant j'ai trouvé le piaf de la voisine qui solennelement m'a dit:

"Toi tu devrais arréter de lire du BORIS VIAN..."